I – Les vacances : de l’Antiquité à nos jours
Les vacances telles que nous les connaissons aujourd’hui datent du début du 20ème siècle. Pourtant l’idée n’est pas neuve. Depuis l’antiquité, les plus fortunés se retirent au vert pour fuir les fortes chaleurs de l’été. Au moyen-âge, les jours chômés sont nombreux et principalement dictés par l’Église. Ils permettent à la population d’effectuer des pèlerinages mais ils sont surtout dédiés au recueillement et à la prière. Ce sont les Britanniques qui, au 18ème siècle, inventent l’idée même du tourisme. D’abord thermal et aristocratique, il se développe également à la campagne, en bord de mer et à la montagne. Porté par les idées des philosophes et des médecins, le bon air serait bon pour la santé et soignerait de nombreuses maladies. Les stations balnéaires se multiplient le long de la Manche mais également et surtout sur la Côte d’Azur. Peu à peu la mode de « partir en vacances » se démocratise. C’est au 20ème siècle qu’elle se popularise notamment grâce aux avancées technologiques, sociétales mais également légales. Les congés payés de 1936 vont plonger la France dans une véritable frénésie estivale. Le tourisme devient un secteur économique à part entière. Pour faire face aux arrivées massives, des villes entières sortent de terre. Avec le plein emploi et les initiatives populaires, destinées à faire partir le plus grand nombre, les vacances connaissent leur apogée dans les années 1970. La crise des années 80, les dernières lois sur les 35 heures en 2000 et l’avènement d’Internet transforment le secteur.
A – Depuis l’Antiquité jusqu’au 20ème Siècle
a) Antiquité : Rome
L’idée des vacances n’est pas nouvelle. Déjà, l’empereur romain Hadrien avait fait construire une superbe villa dans les environs de Tivoli. Il voulait fuir Rome pendant les périodes de fortes chaleurs.
De fin juillet à fin août le Soleil et l’étoile Sirius se lèvent en même temps. Cette étoile a vite été associée aux plus fortes températures de l’année.
Le saviez-vous ? C’est l’étoile Sirius (canicula en latin) qui, par dérivation de la langue, a donné naissance au mot canicule. On l’utilise encore aujourd’hui pour décrire une période de forte chaleur.
L’empereur a rapidement été imité par les riches aristocrates romains. Ils ont installé leurs villégiatures estivales principalement autour de Naples et de Pompéi. Ils cherchaient à se mettre au frais, à fuir les odeurs mais également la malaria propagée par les invasions de moustiques.
Dans l’ancienne Égypte, la période estivale correspondait également au début des crues du Nil. Elles étaient essentielles à l’agriculture et à la survie des habitants mais elles provoquaient le déplacement temporaire des populations vers le nord du pays.
b) Moyen-Âge : influence de l’église sur les jours chômés
Au moyen-âge, les jours chômés étaient intimement liés à l’apogée de la chrétienté en Europe occidentale. Ils étaient l’expression de la religion. Fêtes votives diverses, hommages aux saints patrons de corporations ou encore commémorations d’évènements bibliques, tous les prétextes sont bons. Les jours fériés deviennent presque les plus nombreux en avoisinant 80 jours par an. Mais ces vacances ne sont pas synonymes de repos. Les journées doivent être consacrées au recueillement et à la prière. L’Église proclame le dimanche comme « jour du seigneur » qui devient alors un jour de repos hebdomadaire.
Il est également autorisé de s’absenter pour entreprendre de grands pèlerinages. Les croyants vont vers des lieux saints comme Jérusalem ou Saint Jacques de Compostelle. Quel que soient leurs croyances ou leur niveau de vie, les pèlerins n’hésitent pas à parcourir des milliers de kilomètres à pied. Ils s’arrêtaient seulement pour manger et dormir dans les auberges de grands chemins.
Le saviez-vous ? C’est de cette époque que daterait l’expression qui « dort, dine ». En effet, les aubergistes étant confrontés à l’afflux massif de voyageurs. Dans un souci de rentabilité, ils obligeaient à qui passait la nuit sous leurs toits d’y prendre également le souper. Ainsi qui dormait, devait également diner.
Mais les vacances étaient aussi liées aux travaux des champs et à la période des moissons. En 1231, le pape Grégoire a accordé des congés de « vendanges » aux écoliers. Période qui ne devait pas excéder un mois complet. Les apprentis étaient également autorisés à suspendre leur formation pour aider aux récoltes.
C’est aussi à cette époque que les élites religieuses et les riches bourgeois se sont fait construire des résidences d’été fortifiées à la campagne. Ils échappaient ainsi à la chaleur mais également aux odeurs et aux maladies.
c) XVIII et XIX siècles : bains de mer et montagne et influence britannique
C’est à la renaissance et grâce aux anglo-saxons que s’est réellement développé le tourisme. Avec l’émergence de l’idée de démocratie et de citoyenneté, les pèlerinages se font moins nombreux. Les « voyages d’études » sont inventés sous l’influence des artistes, écrivains et philosophes. Toute l’Europe se déplaçait alors pour découvrir les vestiges antiques notamment italiens. Pour parfaire leur éducation, les britanniques envoyaient leurs enfants à Rome ou à Pompéi en voyage initiatique.
Le saviez-vous ? Il n’est pas rare que les futurs étudiants américains partent pour une année de voyages culturels en Europe avant d’entrer à l’université. Véritable héritage de la colonisation britannique ou simple habitude citoyenne, la tradition du voyage initiatique semble donc perdurer Outre-Manche.
La montagne devient un nouveau lieu d’expériences et d’aventures humaines grâce aux récits de Jean-Jacques Rousseau. C’est ainsi que la haute société s’est fascinée pour la course au Mont blanc. Il a été gravit pour la première fois dans son intégralité en 1786.
Profitant d’une économie florissante, la haute bourgeoisie anglo-saxonne a également été la première à partir « en vacances ». Elle profite des vestiges des thermes romains installés sur leurs côtes pour les remettre aux goûts du jour et développer le tourisme thermal. Ils y ajoutent jeux, sorties au théâtre, balades en bord de mer et lancent le concept de « ville d’eau ». Concept, largement repris sur le continent jusqu’au début du XXème siècle.
C’est au XIXème siècle que se développe également un goût pour le tourisme vert. Il est à la fois plébiscité par les médecins et facilité par une forte politique d’aménagement du territoire. C’est, en effet, sous le second empire qu’a été créé la première ligne ferroviaire régulière entre Paris et Saint-Gervais en septembre 1830.
Le saviez-vous ? À Nice, la Promenade des Anglais qui date de 1830, doit en partie son nom aux nombreuses résidences britanniques de l’époque. Les Anglais profitaient ainsi d’un climat plus clément pour passer l’hiver.
L’air marin, celui de la montagne où tout simplement une balade dans la nature serait bon pour la santé. C’est ainsi que les stations balnéaires se sont développées le long de la Manche mais également sur la Côte d’Azur, à Biarritz ou encore à Deauville. Cette dernière a été entièrement créée en 1860 par le Duc de Morny, le demi-frère de Napoléon 3. En pleine apogée du romantisme, il était de bon ton pour l’aristocratie de quitter son domicile pour rejoindre sa résidence secondaire installée en bord de mer ou à la montagne.
C’est à la fin du XIXe siècle que sont nés les premiers offices du tourisme français ainsi que les premières colonies de vacances.
B- Évolution des vacances au XXème siècle
a) Évolutions sociales et sociétales
* Début du siècle
C’est en 1900 que le premier guide Michelin est publié. Il vise à recommander aux automobilistes les meilleures adresses de restaurants sur la route des vacances.
La première autoroute reliant Milan à Varèse en Italie est d’ailleurs mise en service à l’automne 1924.
Malgré la loi sur la séparation de l’Église et de l’État de 1901 et la laïcité de l’école, les vacances scolaires ont été peu à peu calquées sur le calendrier religieux. Depuis la IIIème République, les écoliers bénéficiaient de 2 jours de repos par semaine. Le jeudi restait malgré tout consacré en grande partie au catéchisme. Jusqu’en 1914, les enfants bénéficiaient d’un mois de repos en été. Repos conçu pour pouvoir aider leurs familles aux travaux des champs. Les congés n’ont cessé d’évoluer. En 1939, les grandes vacances ont lieu du 15 juillet au 30 septembre. Les enfants bénéficiaient de 2 semaines de repos à Pâques, de quelques jours à Noël ainsi qu’à mardi gras.
Mais le tournant a été pris en 1936 avec les lois sur les congés payés votées par le Front populaire. Désormais les travailleurs pourront profiter de 12 jours ouvrables de vacances entièrement payées par leurs employeurs. La démocratisation des congés et le développement des voitures permettent à des milliers de familles de prendre la route des vacances.
* Les 30 glorieuses
Dans un premier temps, les congés payés ont été l’occasion pour les travailleurs de rejoindre leurs familles à la campagne afin d’aider aux récoltes. Après la guerre, on a assisté à un véritable essor du tourisme de masse. En effet, dans les années 50, les vacanciers semblaient préférer la mer à la montagne ou à la campagne. Le caravaning et le camping rendaient les vacances plus accessibles, même si elles restaient encore chères.
Les villages du bord de mer, si paisibles en hiver, ont vu quadrupler voire quintupler leur population notamment au mois d’août. Les vacances sont devenues une véritable manne financière pour les territoires. Ils prospèrent et en profitent pour s’équiper en infrastructures sportives, culturelles ou encore de loisirs. Un grand nombre des complexes hôteliers, des résidences de vacances, des campings se sont construits pour faire face aux arrivées estivales.
On assiste à une véritable transformation des mentalités. Le plein emploi et la croissance ont engendré des avancées sociales importantes. Le billet populaire de congé annuel a été mis en vente par les chemins de fer dès 1936. Il a permis à plus de 550 000 personnes (plus du double dès 1937) de prendre le train pour les vacances. La vie culturelle s’est développée également sur les lieux de villégiature où les municipalités organisaient des manifestations festives et populaires.
Les congés payés ont donc contribué, en partie, à développer tout un nouveau secteur économique basé sur le tourisme, le sport et les loisirs jusque-là réservés à l’élite. Même le gouvernement s’est doté d’un ministère du tourisme.
Dans les années 50, les vacances coutaient encore chères et malgré les congés payés, la classe moyenne n’en profitait pas vraiment. Tandis que la nouvelle bourgeoisie se prélassait dans les stations en bord de mer, les ouvriers restaient souvent chez eux pour jardiner ou refaire leurs maisons. Dans l’idée de rendre les vacances accessibles à tous, des initiatives populaires portées par le tissu associatif ont émergé. La Croix Rouge, la Fédération des Œuvres Laïques ou celle de Léo Lagrange ainsi que des organisations plus chrétiennes se sont développées. Les grandes entreprises étaient conscientes que cette idée améliorait grandement la productivité des travailleurs. Elles investissaient alors pour les enfants de leurs employés. C’est le début des colonies de vacances SNCF, EDF ou encore des PTT.
Le camping, plébiscité par la classe ouvrière, demandait néanmoins une grosse organisation et un peu de moyens financiers. Pour que tous puissent profiter de congés et afin de gommer les inégalités, des associations se sont créées : les villages vacances. Des tentes aux sanitaires jusqu’à la tarification, tout a été pensé pour que les plus modestes puissent aussi profiter pleinement de leurs congés.
Le concept de vacances « tout compris » a séduit même les plus fortunés. La création des clubs méditerranée a réinventé les vacances. Les notions de loisirs, d’animations et d’activités sportives deviennent plus importantes. C’est la naissance des G.O. (Gentils Organisateurs) des clubs de vacances et des soirées animées.
Avec les lois sur la 5ème semaine de congés payés puis celle sur les 35 heures qui instaure le système de RTT, les vacanciers partent plus mais moins longtemps. Même si la transhumance estivale perdure, les congés s’étalent tout au long de l’année. Avec l’avènement d’Internet, la notion de tourisme est réinventée. Les vacanciers traquent les « bons plans ». Pour des raisons économiques, mais également pour échapper à la foule, on préfère se déplacer « hors saison ». Même si le bord de mer reste attractif, les français voyagent également plus facilement à l’étranger.
* Déchristianisation de vacances
De 2 semaines de congés payés en 1936, on passe progressivement à 3 en 1956 puis 4 en 1969 et enfin 5 semaines en 1981. Les dernières lois sur les 35 heures inventent également le concept de RTT (Réduction de Temps de Travail) qui s’additionne aux congés légaux.
Sous l’impulsion des enseignants et des personnels pédagogiques, le système de vacances scolaires est réorganisé. L’exode rural et l’industrialisation de la France remettent en question l’utilité des grandes vacances. Elles sont donc écourtées au profit de la création de 10 jours de vacances à la Toussaint ainsi que de deux semaines pendant l’hiver. Les 2 semaines de congés début septembre disparaitront également avec le déclin de la ruralité.
Suite au développement de la laïcité, les vacances ne sont plus dictées par la vie religieuse. Les congés de Pâques sont rebaptisés en « vacances de printemps », celles de Noël sont plus généralement appelées fêtes de fin d’années, etc. Mais le secteur touristique devient un poumon économique important qui créé des emplois et soutient des territoires dépourvus de ressources naturelles ou d’industries. Le système de congés est rééquilibré pour adopter un rythme plus régulier. Les vacances d’hiver, par exemple, sont étalées par zones pour que le secteur des sports d’hiver puisse en profiter. Les vacances de printemps sont planifiées autour des fêtes pascales mais n’en sont plus l’objet premier.
Si dans les années 30 la pratique du ski est anecdotique, les vacances aux sports d’hiver prennent véritablement de l’ampleur au début des années 1960. Des villes comme Chamonix ou Saint-Gervais voient leur fréquentation augmenter. Pour accompagner ce phénomène, l’État crée en 1964 une Commission Interministérielle d’Aménagement de la Montagne. Les stations de ski sont aménagées sur des espaces sauvages notamment dans les Alpes et permettent de devenir le poumon économique de la région. L’or blanc attire les promoteurs et nombres de stations sortent de terre. D’une trentaine de stations en 1936 on passe à plus de 200 en 1975. Ces villes nouvelles entièrement focalisées sur le ski profitent d’équipements modernes tels que des remontées mécaniques ou des chasse-neige. Pourtant la pratique du ski reste tout de même relativement chère. Dans les années 1980, la crise économique et le dérèglement climatique poussent les stations à trouver des solutions pour rentabiliser leurs investissements. Nombre de villages montagnards misent alors sur le tourisme vert et les activités d’été comme la randonnée, le V.T.T. ou encore l’escalade.
* Récits de voyage et guides touristiques
Depuis Marco Polo, les voyageurs ont l’habitude de raconter leurs aventures à l’écrit. Mais c’est à la Renaissance avec l’invention de l’imprimerie et de l’édition que le récit de voyage se démocratise. Les lecteurs sont à la fois attirés par la découverte de nouveaux territoires et la soif de connaissance. Au XIXème siècle, avec l’expansion coloniale de l’Europe, désormais les écrivains peuvent véritablement vivre de leur plume. Ils se professionnalisent et un genre nouveau d’écrivains-journalistes fait son apparition. Ils rédigent principalement pour la jeunesse mais également aux titres de reporter d’investigation ou encore pour des revues périodiques. C’est ainsi qu’est publié le premier numéro du National Geographic en 1888 avec, en doubles pages centrales, un sujet consacré au Tibet.
C’est grâce aux reporters et à l’apparition des médias de masse (journaux papiers, puis le cinéma et plus tard la télévision) que la population se passionne pour l’archéologie égyptienne, les temples mayas ou encore les grandes citées asiatiques. L’envie de voyager émerge et l’on désire voir de ses propres yeux ces magnifiques merveilles.
Les premiers guides touristiques sont inventés en Angleterre et en Allemagne au XIXème siècle. Le guide Reichard puis Rheinreise ou encore Murray. Les premiers ouvrages français sont publiés chez Hachette dans la collection des Guides Joanne devenus plus tard Guides Bleus. Le développement de l’automobile incite Michelin à se lancer dans la cartographie routière et l’édition son fameux guide. Le Guide Michelin répertorie les établissements hôteliers ou de restauration selon un classement très strict.
De nombreuses collections dédiées aux voyages et aux livres touristiques font leur apparition dans les années 70. Tous les éditeurs surfent sur la vague des vacances et de leur pouvoir économique. Certains sont d’ailleurs subventionnés par la publicité ce qui remet en cause leur neutralité. Afin de s’adapter à toutes les catégories de voyageurs et notamment les moins fortunés, Michel Duval et Philippe Gloaguen lance la collection du Guide du Routard. Au-delà de classer les établissements par renommée, ils proposent également d’introduire une notion de budget et de « bons plans » qui séduit la jeunesse.
Depuis quelques années, avec l’arrivée d’Internet et de nouvelles technologies de mobilité telles que le smartphone ou le GPS, les éditions numériques se multiplient. Alimentées par des experts du voyage, elles sont également collaboratives et regroupent des avis de voyageurs. Les avis ou notes attribués par les utilisateurs deviennent un nouveau critère déterminant de choix pour les futurs vacanciers.
b) Évolutions légales
La législation en matière de congés évolue surtout au cours du 20ème siècle. Si les textes fondateurs datent de la fin des années 30, voici tout de même quelques dates clés à retenir.
1231 : Congés de « vendages » pour les écoliers
1891 : 1 mois de vacances l’été à partir du 1er aout
4 janvier 1894 : Instauration de 6 semaines de vacances en été et d’1 semaine à Pâques. Le jour de l’an et son lendemain, le lundi de Pentecôte, le lendemain de la Toussaint, le jour de la fête patronale de la commune et le 14 juillet sont chômés. Les heures scolaires sont ramenées à 30 heures par semaine répartis sur 5 jours. Le jeudi et le dimanche étant des jours de repos pour les écoliers.
1922 : Les grandes vacances d’été sont allongées de 2 semaines
1936 : Le Front Populaire vote 2 semaines de congés payés pour tous les travailleurs. La Société des chemins de fer invente le billet populaire congés payés
1938 : Création des vacances de Noël. Les vacances d’été ont lieu du 15 juillet au 30 septembre
1956 : La 3ème semaine de congés payés est votée
1960 : Les grandes vacances ont désormais lieu du 26 juin au 16 septembre
1968 : Reconnaissance des villages vacances par décret
8 aout 1969 : Une 4ème semaine de congés pour les travailleurs. Le rythme scolaire est modifié à 27h de cours par semaine. Le samedi après-midi devient libre.
1981 : Réorganisation du système de vacances scolaires. Suppression de 2 semaines de vacances en septembre. Instauration de 10 jours de congés à la Toussaint et de 2 semaines à Noël. Une 5ème semaine de congés payés est accordée aux travailleurs.
2000 : Loi sur les 35H / invention des RTT
2007 : Semaine scolaire de 4 jours
Commentaires (2)
H Lambel
2 août 2019 at 8 h 12 minArticle intéressant. Une info entre ligne qui mériterait d’etre développée : l’es jour fériés instaurés par l’Eglise étaient nombreux, il semblerait que, outre les vacances (absences) pour les apprentis, une autre période ouverte à tous donnaient lieu en plus à des déplacements (voyages) dans les campagnes pour que les familles se rassemblent : c’était à l’occasion de la semaine sainte. Cette période chômée aurait été abolie par l’empereur.
Nanjaniaina Herizo
24 mars 2022 at 13 h 26 mintrès intéressant
Merci beaucoup